Vous cherchez un complément de revenu qui vous fait du bien. Vous voulez travailler à temps choisi, la vente à domicile vous tente, mais beaucoup de questions se posent ? Quelle entreprise choisir, quel statut préférer ?
Comment choisir son entreprise ?
La réponse à cette question paraît relativement simple ! Rendez-vous sur le site de la FVD, balayez la liste des univers produits, choisissez ceux qui vous attirent et ensuite épluchez les sites internet, les pages Facebook, Instagram, Pinterest des entreprises de cet univers. Là, vous saurez déjà faire un premier tri entre les valeurs et les mots qui vous parlent et celles et ceux qui vous laissent indifférents ou ne vous conviennent pas. Votre présélection effectuée, il ne vous reste qu’à franchir le pas de contacter les entreprises de vente à domicile et de voir comment s’installe la relation humaine, l’écoute, le conseil, quelles sont les perspectives d’accompagnement car c’est de tout ça dont vous aurez le plus besoin pour vous épanouir, réussir : vous sentir libre mais pas seul ! vous sentir accueilli parce que vous êtes Vous et non une recrue de plus !
Prenez le temps de faire votre choix sans vous laisser éblouir par une offre exceptionnelle si vous signez « maintenant », comparez les statuts, les fonctionnements, les taux de commissions. Un taux plus élevé peut-être alléchant à conditions qu’il ne faille pas trop débourser par ailleurs pour mener son activité : frais de gestion, formations payantes, documents commerciaux, cadeaux pour les hôtes…
Statut de VDI mandataire ou acheteur-revendeur ?
Les 2 statuts sont des statuts de vendeur à domicile indépendant pour lesquels vous serez indépendant sur le plan juridique et fiscal et assimilé salarié sur le plan social. La différence se fait sur votre relation à l’entreprise : êtes-vous son intermédiaire ? c’est le cas du VDI mandataire, ou son client ? c’est le cas du VDI l’acheteur-revendeur.
Quelles différences cela implique-t-il ?
L’acte de vente :
Dans le premier cas le VDI mandataire conclut des contrats de vente avec les consommateurs, au nom et pour le compte de l’entreprise.
Dans le second cas, l’entreprise vend les produits au VDI acheteur-revendeur, qui les revend à son tour aux consommateurs en son propre nom. En principe, le VDI acheteur-revendeur constitue donc des stocks de produits.
La rémunération :
La rémunération du VDI mandataire prend la forme de commissions sur les ventes réalisées par son intermédiaire. Les commissions sur lesquelles des cotisations sociales seront payées à l’URSSAF par l’entreprise, lui seront versées déduction faite des cotisations restant à sa charge.
La rémunération du VDI acheteur-revendeur correspond à la marge qu’il fera entre le prix auquel il achète le produit à l’entreprise et le prix auquel il le revend à son client (ou la partie du prix hors taxe auquel il le revend s’il est assujetti à la TVA). Il bénéficie de remises quantitatives sur les produits qu’il achète. Les marges feront l’objet de cotisations sociales payées à l’URSSAF par l’entreprise, déduction faite des cotisations restant à sa charge. L’information de l’entreprise sur la marge réelle réalisée relève d’abord de la responsabilité du VDI acheteur-revendeur.
Dans les 2 cas, peuvent s’ajouter des commissions d’animation si le VDI a créé sa propre équipe de vendeurs.
Pour en savoir plus https://www.fvd.fr/presse/ouvrages-de-la-fvd/